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 La crise: question de point de vue

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Liselotte02
Natacha
Arthuro
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Arthuro
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MessageSujet: Re: La crise: question de point de vue   La crise: question de point de vue - Page 2 EmptySam 8 Mai - 19:02

La crise: question de point de vue - Page 2 Coucou16 on parle entre nous de la Grèce et des contributions alors ze me permets de reposter quelques chose qui pourra éclairer certains d'entre nous. Sur ce ze me prends une petite "Jup"

Arthuro a écrit:
La crise: question de point de vue - Page 2 Coucou16 ...

Voici ce que l'on m'a expliqué par 2 fois quand même!
 c'est quand même plus clair quand c'est expliqué avec des bières !!!

Le principe des impôts semble pouvoir s'expliquer par une logique assez
simple. Mais beaucoup pourtant ne le saisissent toujours pas.
Comme c'est la saison des taxes, laissez-moi vous 'expliquer en des termes
simples que tout le monde peut comprendre.

Imaginons que tous les jours, 10 amis se retrouvent pour boire une bière et
que l'addition totale se monte à 100 euros.
(Normalement, cela ferait 10 euros par personne).
Mais nos dix amis décidèrent de payer cette facture selon une répartition
qui s'inspire du calcul de l'impôt sur le revenu, ce qui donna à peu près
ceci :
· Les 4 premiers (les plus pauvres !?), ne payeraient rien.
· Le cinquième paierait 1 euro
· Le sixième paierait 3 euros
· Le septième paierait 7 euros
· Le huitième paierait 12 euros
· Le neuvième paierait 18 euros
· Le dernier (le plus riche ?!) devrait payer 59 euros.
Les dix hommes se retrouvèrent chaque jour pour boire leur bière et
semblaient assez contents de leur arrangement.
Jusqu'au jour où le tenancier les plaça devant un dilemme :
« Comme vous êtes de bons clients, dit-il, j'ai décidé de vous faire une
remise de 20 euros sur la facture totale. Vous ne payerez donc désormais vos
10 bières que 80 euros. »
Le groupe décida de continuer à payer la nouvelle somme de la même façon
qu'ils auraient payé leurs taxes. Les quatre premiers continuèrent à boire gratuitement.
Mais comment les six autres, (les clients payants), allaient diviser les 20 euros de remise de façon équitable ? Ils réalisèrent que 20 euros divisé par 6 faisaient 3.33 euros.
Mais s'ils soustrayaient cette somme de leur partage alors le 5ème et 6ème homme devrait être payé pour boire leur bière.
Le tenancier du bar suggéra qu'il serait plus équitable de réduire l'addition de chacun d'un pourcentage du même ordre, il fit donc les calculs.
Ce qui donna à peu près ceci :
· Le 5ème homme, comme les quatre premiers ne paya plus rien. (un pauvre de plus ? Ndt)
· Le 6ème paya 2 euros au lieu de 3 (33% réduction) ·
Le 7ème paya 5 euros
au lieu de 7 (28% de réduction) · Le 8ème paya 9 euros au lieu de 12 25% de réduction)·
Le 9ème paya 14 euros au lieu de 18 (22% de réduction)·
Le 10ème paya 50 euros au lieu de 59 euros (16% de réduction)
Chacun des six « payants » paya moins qu'avant et les 4 premiers continuèrent à boire gratuitement.
Mais une fois hors du bar, chacun compara son économie :
« J'ai seulement eu 1 euro sur les 20 euros de remise », dit le 6ème, il désigna le 10ème « lui, il a eu 9 euros ». « Ouais ! dit le 5 ème, j'ai seulement eu 1 euro d'économie »
« C'est vrai ! » s'exclama le 7ème, « pourquoi aurait- il 9 euros alors que je n'en ai eu que 2 ?
Le plus riche a eu le plus gros de la réduction »
« Attendez une minute » cria le 1er homme, « nous quatre n'avons rien eu du tout nous.
Le système exploite les pauvres ».
Les 9 hommes cernèrent le 10ème et l'insultèrent.
La nuit suivante le 10ème homme (le plus riche ?!) ne vint pas.
Les neuf autres s'assirent et burent leur bière sans lui.
Mais quant vint le moment de payer leur note ils découvrirent quelque chose d'important :
ils n'avaient pas assez d'argent pour payer ne serait-ce que la moitié de l'addition !
Et cela, mes chers amis, est le strict reflet de notre système d'imposition.
Les gens qui payent le plus de taxes tirent le plus de bénéfice d'une réduction de taxe.
Taxez les plus fort , accusez-les d'être riches et ils risquent de ne plus se montrer désormais.
En fait ils pourraient commencer à aller boire à l'étranger...,

Pour ceux qui ont compris, aucune explication n'est nécessaire.
Pour ceux qui n'ont pas compris, aucune explication n'est possible.

Signé
David R. Kamerschen, Ph. D.
Professeur d'économie
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Liselotte02
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MessageSujet: Re: La crise: question de point de vue   La crise: question de point de vue - Page 2 EmptySam 8 Mai - 20:10

Je crois que j'avais compris
Très bien expliqué d'ailleurs La crise: question de point de vue - Page 2 Super21
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Arthuro
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MessageSujet: Re: La crise: question de point de vue   La crise: question de point de vue - Page 2 EmptyMer 9 Juin - 15:58

La crise: question de point de vue - Page 2 Coucou16
ATTENTION la Belgique....


Après ceci que penser???


https://www.youtube.com/watch?v=2n1kv3sYLak
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Arthuro
Amiral
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MessageSujet: Re: La crise: question de point de vue   La crise: question de point de vue - Page 2 EmptyJeu 17 Juin - 14:53

La crise: question de point de vue - Page 2 Coucou16
Après les élections, la Belgique se réveille doucement!!!!

Voici un article du télé moustique qui nous donne une
réflexion de choix que Philippe Geluk allias "Le chat" nous propose.
Hélas beaucoup de vérités, nos amis flamands auraient-ils perdus la mémoire.
L'histoire est un éternel recommencement!!!
Prenez le temps de tout lire et bonne fin de semaine à tous.

Ceux qui lisent "TéléMoustique" auront peut-être déjà pris connaissance de
cet article ...

L'avis du "Chat" sur la flamandisation : paru dans le TéléMoustique n°4400
du 26/05/2010 : un peu long mais je conseille à chacun de le lire (et pour
une fois, envoyez le à tous)

" Autrefois belgicain, le chatoyant dessinateur-humoriste Philippe Geluck ne
veut plus de cette Belgique-là. Et ça ne l'amuse pas.

Si une majorité de Flamands veut foutre le camp, qu'elle foute le camp!
Lorsqu'on évoque les très prochaines élections, même les responsables
politiques ont beaucoup de mal à dissimuler leurs pieds de plomb. Mais il y
a plus profond: dans la population, ce pays a fini par susciter une profonde
lassitude. Parce que les extrémistes du Nord ont fini par donner le cap des
comportements politiques, le sentiment que la Belgique a déjà franchi un
point de non-retour est plus que perceptible au Sud. Sentiment aggravé par
la conviction qu'un palier supplémentaire sera franchi le 13 juin, par un
vote massif en faveur des nationalistes flamands. Mais cette Belgique de
l'exclusion, certains n'en veulent plus. Parmi eux, Philippe Geluck. Le
dessinateur du Chat était un unitariste jusqu'ici convaincu, imprégné qu'il
était par la grâce biculturelle dont bénéficiait notre petit pays. Mais les
comportements d'une certaine Flandre ont tout chamboulé: "J'ai passé ma
jeunesse et le début de ma vie d'adulte à Bruxelles. Puis j'ai longtemps
habité en Wallonie, où j'ai peut-être moins perçu ce qui se tramait
réellement au nord du pays. Récemment, je suis revenu habiter à Bruxelles.
Cette plus grande proximité avec la Flandre d'aujourd'hui m'a ouvert les
yeux. Je ressens plus fortement le virage qu'ont pris trop de Flamands. Et
ce que je vois est détestable. Inconciliable, en tout cas, avec ma
conception du vivre ensemble, et même de la démocratie. Ma déception est
immense." Et le coup de sang est à la hauteur du désenchantement.

Récemment, vous déclariez dans un quotidien que "ce qui faisait la
spécificité et la richesse de la Belgique est devenu sa principale raison de
se séparer".
Philippe Geluck - Oui. La vraie Belgique, celle de la diversité, du mixage
linguistique et culturel, représente quelque chose pour moi.
J'ai toujours dit et je continue de dire que j'aime la culture flamande et
les Flamands. Mais quand la Flandre me crache constamment au visage, ça va
comme ça. Disons que je suis patriote. Mais le patriotisme, c'est l'amour
des autres. Le nationalisme, c'est la haine des autres. Je suis très triste
de voir qu'au nord de mon pays, il y a de moins en moins de patriotes et de
plus en plus de nationalistes.

Ils le sont tous?
On nous dit qu'une majorité de Flamands tient encore à ce que j'aime dans la
Belgique. Mais alors, j'aimerais bien qu'ils me le montrent!
Or, c'est tout le contraire qui se passe. Qu'ils me le montrent le 13 juin
par les urnes. Qu'ils me le disent dans la presse. Qu'ils me le montrent en
arrêtant toutes ces mesures "anti-francophones". Qu'ils me le montrent en
arrêtant de participer par dizaines de milliers au Gordel, cette "promenade"
cycliste autour de Bruxelles. Des pères et mères de famille avec leurs
enfants font le tour de Bruxelles à vélo, pour bien dire aux Bruxellois
francophones: vous êtes nos prisonniers, on vous encercle! Sous couvert
d'une randonnée familiale, c'est une manifestation de mépris et de haine.
[...]

Vous rejoignez donc Olivier Maingain, qui a comparé certaines pratiques
flamandes avec celles de l'Occupation allemande?
Je trouve qu'il y a des parallèles. Il faut voir ce qui se passe sur le
terrain, en Flandre. Quand la commune d'Overijse organise un bureau de
délation anti-francophone, ça doit quand même nous rappeler quelque chose.
Ce qui m'inquiète le plus, c'est que tout est écrit. Que des intellectuels
flamands ou des autorités se mobilisent pour organiser l'exclusion, puis en
fassent des écrits. Cette manière d'étouffer Bruxelles en la sous-finançant
pour en faire un objet de chantage, ils l'ont écrite! La "doctrine Maddens",
du nom de ce professeur d'université de la KUL qui préconise d'assécher
l'Etat fédéral de ses ressources pour que, finalement, les francophones
soient demandeurs de plus d'autonomie, c'est un écrit. Des décrets comme le
"Wooncode" sont des mesures d'exclusion de type raciste, et c'est écrit!
Tous ces écrits font froid dans le dos. Comme Mein Kampf aurait dû alerter
l'opinion internationale. Tout était écrit! Et s'est réalisé...
Les Flamands pourraient encore empêcher la réalisation de ces doctrines
d'exclusion et de haine par voie démocratique. Mais le pire, c'est que
certains veulent vraiment les réaliser. C'est ça qui est devenu
irrespirable. En Flandre, les nationalistes et les extrémistes tiennent le
gouvernail. Et négocier avec ces gens-là, c'est entrer dans leur logique. Si
vous faites une concession pour montrer votre bonne volonté, ils la
saisissent puis exigent le truc suivant en inventant d'autres exclusions
pour mettre la pression. On ne peut pas entrer dans cet engrenage. C'est
pour cela qu'il faut changer la Constitution , et y inscrire la possibilité
de faire des référendums.

Pour définitivement poser aux Flamands la question de la rupture avec la
Belgique francophone?
Oui. Si c'est non à la rupture, il faudra qu'ils en déduisent une série de
choses: le respect des solidarités, des minorités et des droits humains
fondamentaux qu'ils ne respectent pas pour l'instant.
Si c'est oui, il faudra que les démocrates flamands se demandent où commence
et où s'arrête la solidarité au sein d'une Flandre devenue indépendante.
Après s'être désolidarisés des francophones, que feront- ils si une partie
de la Flandre est plus pauvre qu'une autre? Ils vont aussi l'exclure pour ne
conserver qu'une Flandre triomphante? Ça peut aller loin, ce genre de
logique. Ça peut aller jusqu'à une logique de sous-citoyens. C'est là que ça
rejoint la logique du IIIe Reich.

Le 13 juin, la N-VA pourrait devenir le premier parti flamand. Quelle serait
votre réaction?
Je commencerai à regarder les annonces immobilières à l'étranger. Sans
déconner! Ces gens me glacent. Est-ce que je pourrai encore vivre dans un
pays où des nationalistes et des néo-fachos du Vlaams Belang façonnent les
mentalités? Est-ce que, comme les Juifs dans les années 1930, je ne dois pas
me dire: il est temps de quitter l'Allemagne?

Vous seriez prêt à entamer un processus de séparation dès maintenant?
Moi, je suis un démocrate. Si une majorité de Flamands dit qu'elle veut
foutre le camp, eh bien qu'elle foute le camp! Nous signerons l'acte de
séparation. Mais pas à n'importe quel prix. Vous avez votre indépendance,
mais à condition que nous gardions le nom de Belgique, qui sera composée de
Bruxelles, de la Wallonie et aussi des communes à facilités. Ce qui assure
donc un lien territorial entre la Wallonie et Bruxelles, via
Rhode-Saint-Genèse et quelques kilomètres carrés de forêt de Soignes, au sud
de Bruxelles, où les arbres ne parlent aucune langue. S'ils veulent qu'on
respecte leur volonté d'indépendance, il faudra aussi qu'ils respectent le
voeux d'une majorité de francophones:
vivre dans un autre espace que le leur. Mais avec une grosse nuance par
rapport à la Flandre actuelle: les démocrates flamands seront les bienvenus
dans cette nouvelle Belgique. Et ils seront respectés dans leur identité
linguistique.

Vous avez le sentiment d'un énorme gâchis ?
Tout ça m'attriste. Je parle les deux langues, je crois en la richesse de
l'intégration des cultures. Mais aujourd'hui, trop de Flamands se fichent de
cela. Vous pouvez être parfait bilingue, ouvert à leur culture, vous serez
toujours le francophone à exclure. Une fois de plus, malheureusement, on
peut refaire un parallèle avec ce qui s'est produit en Allemagne: vous aviez
beau être Allemand, parler la langue parfaitement, aimer Beethoven et
Goethe, si vous étiez Juif, vous deviez être exclu. C'est là qu'on est dans
l'apartheid, le racisme, la haine de l'autre. Tout ça m'est odieux. "
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Arthuro
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MessageSujet: Re: La crise: question de point de vue   La crise: question de point de vue - Page 2 EmptyLun 21 Juin - 8:19

La crise: question de point de vue - Page 2 Coucou16

Voici un petit cours de socialisme qui mérite réflexion surtout au vu de se qui se passe pour l'équipe de France

Un professeur d'économie dans un lycée annonce fièrement qu'il n'a jamais vu un seul de ses élèves échouer mais par contre, une année, c'est la classe entière qui a connu l'échec.

Cette classe était entièrement convaincue que le socialisme est une idéologie qui fonctionne et que personne n'y est ni pauvre ni riche, un système égalitaire parfait.

Le professeur dit alors:"OK donc, nous allons mener une expérience du socialisme dans cette classe. A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note. Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne ne caracolera avec de très bonnes notes.

Après le 1°contrôle, on fit la moyenne de la classe et tout le monde obtint un 13/20. Les élèves qui avaient travaillé dur n'étaient pas très heureux au contraire de ceux qui n'avaient rien fait et qui eux étaient ravis.

A l'approche du 2° contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins tandis que ceux qui s'étaient donné de la peine pour le 1° test décidèrent de lever le pied et de moins réviser. La moyenne de ce contrôle fut de 9/20! Personne n'était satisfait.

Quand arriva le 3° contrôle, la moyenne tomba à 5/20. Les notes ne remontèrent jamais alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d'oiseaux dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu'un d'autre.

A leur grande surprise, tous ratèrent leur examen final. Le professeur leur expliqua alors que le socialisme finit toujours mal car quand la récompense est importante, l'effort pour l'obtenir est tout aussi important tandis que si on confisque les récompenses, plus personne ne cherche ni n'essaie de réussir.

Les choses sont aussi simples que çà.

Petit extrait de discours qui résume parfaitement les choses : "Vous ne pouvez pas apporter la prospérité au pauvre en la retirant au riche. Tout ce qu'un individu reçoit sans rien faire pour l'obtenir, un autre individu a dû travailler pour le produire sans en tirer profit. Tout Pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu'il a préalablement confisqué à d'autres. Quand la moitié d'un peuple croit qu'il ne sert à rien de faire des efforts car l'autre moitié les fera pour elle, et quand cette dernière moitié se dit qu'il ne sert à rien d'en faire car ils bénéficieront à d'autres, cela mes amis, s'appelle le déclin et la fin d'une nation. On n'accroît pas les biens en les divisant."
**Dr.Adrian Rogers, 1931.**
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Liselotte02
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MessageSujet: Re: La crise: question de point de vue   La crise: question de point de vue - Page 2 EmptyMar 22 Juin - 0:20

C'est mon idée sur le socialisme

"J'aime "bien la réflexion de....La crise: question de point de vue - Page 2 Hein36 je ne sais pas qui La crise: question de point de vue - Page 2 Desole
- si on veut faire maigrir les gros les p'tits crèvent
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bibi
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MessageSujet: Re: La crise: question de point de vue   La crise: question de point de vue - Page 2 EmptyMar 22 Juin - 14:40

Je n'avais pas vu cela, mais je suis bien d'accord!!!!!

et je pense que cette exemple de "notes" devraient etre envoyé a certains, qu'ils essayent de la comprendre et aussi de l'appliquer!!!!!!!!!
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mimi24
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mimi24


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MessageSujet: Re: La crise: question de point de vue   La crise: question de point de vue - Page 2 EmptyVen 2 Juil - 1:17

La crise: question de point de vue - Page 2 Idee franchement je crois qu'ils s'en foutent tous des petits....ils peuvent bien mourrir, et surtout en silence comme les lapins!
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