Discussion de femmes sur leurs époux

Arielle écrit:

Citation :

sans queue ni tete.........

Tu connais tu ça ma belle touâ... Pi les autres aussi va ...

Une Histoire Sans Queue ni tête


Cette histoire, vous le verrez, est sans queue ni tête. Pourtant, elle est tout ce qu'il y a de vraie. Elle se passe dans un temps très ancien. Vous ne le savez peut-être pas mais... patience. Je vais vous le dire sans tarder.

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Il y eut un temps où tous les habitants de la terre, quels qu'ils soient, portaient fièrement savez-vous quoi ? Non ! Tous les habitants de la terre portaient comme si c'était leur bien le plus précieux une longue queue !

Les animaux sont des êtres fiers de leur personne. Toutes les occasions sont bonnes pour qu'ils étalent à tous vents leurs talents, leurs habilités, leur savoir. Mais ce qui les passionne avant toute chose, c'est d'exhiber leurs plus beaux atours. Ils adorent se pavaner, faire la roue, s'orner, se parer... en mettre plein la vue peu importe le prix, au point d'en perdre la tête, de faire les pires folies.

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Renard roux se prenant pour le plus rusé pousse un jour la farce jusqu'à lancer à la communauté un défi que seuls les plus téméraires oseront relever. Il se dit : « Cette fois-ci, mes petits amis, ça y est ! Ha ! Ha ! L'affaire est dans le sac. J'ai eu un flair... » Et il se flatte la bedaine de satisfaction, certain de gagner ce concours haut la main.
Mais il y a un proverbe qui dit fort bien « Il ne faut pas vendre la peau de l'ours... »

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Comme il se doit en pareille occasion c'est Pie qui annonce le défi. Elle piaille d'un arbre à l'autre. « Attention !... Attention !... Il y aura parade de queue le prochain soir de pleine lune près du grand lac. » « Attention ! Attention ! Il y aura... Bla... Bla... Bla... la plus belle queue sera couronnée... »

« Une parade de queue », répète-t-on à la ronde, consternés.

La nouvelle se répand en coup de vent. Elle fait en moins de deux, trois fois le tour de la forêt, se répercute en écho dans la montagne, crée des remous dans l'eau, tourbillonne dans la vallée.

De mémoire de tortue, ça ne s'est jamais vu !

L'annonce fait sensation, soulève les passions. Le loup gris, l'écureuil roux, la loutre frisée, le merle à gorge rouge, le huart à collier, l'oie blanche, le geai bleu, le carouge à épaulettes et bien d'autres encore se voient portés au panthéon de la gloire, couronnés pour leur cher appendice.

Jamais queues ont suscité autant d'intérêt. C'est à qui se contorsionne, se casse le cou pour en évaluer l'état. Jamais nouvelle ne causa autant de torticolis, de lumbagos, d'étirements de colonne vertébrale.

Certains oiseaux, comme le huart, ne s'en sont jamais remis. Ils en boitent encore aujourd'hui ! Loup se dit : « Mais voilà une queue touffue, solide, au poil rude et dru. Une queue forte qui a du mordant. Foi de loup, c'est un vrai bijou ! »

Écureuil s'admire depuis fort longtemps. Il ne tarit pas d'éloges : la couleur, la rondeur, l'odeur, l'ampleur... Quelle splendeur !

- Il y a là de quoi flatter mon orgueil, foi d'écureuil !

Perdrix est convaincue de l'emporter. Elle l'étale en éventail.

- Foi de perdrix, c'est rien de moins qu'un premier prix !

Mais de toutes les bêtes, celle qui semble sans contredit la plus estomaquée, c'est l'ours noir.

- Un concours de quoi dites-vous ? De queue ! Heu... Heu... ai-je bien entendu sacre bleu ? Tous des idiots ! Je me demande ce qu'ils ont dans la tête. Encore de rumeurs sans fondement !

Il ne saisissait pas trop... Mais l'idée l'avait piqué. Elle fit son chemin sournoisement, par-derrière.

Il s'assoit sur son arrière-train, gratte sa grosse tête hirsute, rumine, jette un coup d'œil sur son long fouet velu, bat l'air... mesure...

- Ma foi, ce n'est pas si mal. Ouais... même que, avec un peu de travail...

L'ours noir sombre dans les ténèbres de ses pensées profondes. Puis surgit un large sourire qui illumine ses babines.

- Foi d'ours, j'entre dans la course. Moi, au moins, j'ai une queue qui a de la gueule !

Au cours des semaines suivantes, la forêt est sens dessus dessous. Les animaux sont cul par-dessus tête. Pie s'active à constituer un jury. La tâche est ardue. Chacun a un parti pris. Les bêtes à poils et à plumes se préparent fébrilement à l'événement du siècle : une parade de mode qui restera célèbre dans les annales de la forêt !

Renard se déhanche, marche la queue dans les aiguilles de sapin. Il lisse, gomme, parfume ses fins poils cendrés. Il croit avoir une longue d'avance sur tous ses concurrents. Il n'a que sa queue en tête. Elle l'obsède.

Outarde se farde, Hermine se grime, Serin se teint, Perdrix rougit...

Ours noir traîne son fessier dans la bleuetière. Puis il siège des nuits entières sur la croupe de la colline, la queue au vent. Il la démêle, la peigne, la gonfle, l'ébouriffe. Il la natte, la tresse, la boucle, la torsade, la monte en chignon, l'aplatit en toupet.

- Une toque... Non ! Un turban... Bof ! Un bandeau... Oh ! Un diadème... Tout de
même ! Le pauvre n'en dort plus. Ne sait plus où donner de la tête. Il est dans un cul-de-sac.

Le soir tant attendu arrive enfin. Il était temps ! Jamais, de mémoire de tortue toujours, a-t-on vu autant d'animaux plastronnés, costumés, maquillés. L'heure est grave : couronner une queue n'est pas chose commune. La tension est forte... Les nerfs à fleur de peau. Plusieurs sont sur le point de perdre la tête.

Un oiseau à plumage noir et blanc en queue de pie fait le majordome et appelle les paradeurs. Le spectacle est au poil !

- Le castor !

Il passe presque inaperçu. Sa queue est trop plate.

- L'hermine !

Elle a bonne mine... mais... ne fait pas le poids.

- Le raton laveur !

Il est terne, sans couleur.

Et les animaux défilent à la queue leu leu. Ils sont naturellement éliminés un à un. Tous savent que le choix se fera entre Renard et Ours. On les a gardés pour le dessert. Enfin.

- Le renard !

- Bravo ! Hourra !

Sa queue provoque une montage de gloussements, de battements d'ailes. Renard transporté promène son plumeau sous le museau de la foule envoûté, conquise. Renard déambule, pose, parade, exécute des pas de deux, fait un tête-à-queue.

- Mon Dieu ! Mon Dieu ! Quelle belle queue !

- Oui ! Oui ! crie le cacaoui.

C'est l'ovation, la gloire. Grisé, il pavoise, fend l'air de son étendard qu'il hisse bien haut. En coulisse, Ours trépigne, se dandine, fait le pied de grue, tourne en rond. À bout de nerfs, il sort de sa fosse, culbute sur scène, bouscule l'assistance, écrase Renard qui fait le beau, le froisse, le décoiffe, le fripe.

C'est la cohue. Ours s'est coiffé les fesses d'un chignon monté en spirale. Abasourdi par les cris et les aboiements il se dresse sur ses deux pattes. Oh ! d'un seul souffle la foule en délire se soulève. On l'ovationne debout. C'est un tonnerre d'acclamations qui déferlent. Ours se gonfle. Il triomphe.

On fait cercle autour du vainqueur. C'est à qui lui tape sur l'épaule, lui serre la patte, obtient sa griffe. Il est une star au firmament.

Vexé, Renard pour se venger mijote un mauvais coup. Il a vu Brochet qui a suivi la scène de l'eau. Bon deuxième, Renard a droit de parole. Il la prend hautement :
« Ours, je te félicite. Oui ! je te félicite. Mais je vous dirai à tous sans hésiter que si cette brute a une belle queue, elle est certainement moins utile que la mienne. »

La foule est stupéfiée. Le champion hébété est piqué au vif. Est-il contesté ?

- En quoi une queue peut-elle être utile ? lance Renard à la tête de tout le monde.

- Ben... à chasser les moustiques.

- À s'aérer quand il fait chaud !

- À s'asperger d'eau !

- Et ensuite ?

- Ben... Ben...

- Suivez-moi ! En deux sauts, Renard est à quatre pattes sur une pierre plate qui émerge de l'eau. Il s'assoit, trempe le bout de sa queue, attend. Des centaines d'yeux étonnés observent en silence.

- Que fais-tu là, accroupi ? finit par lui demander Pie au nom du jury.

- Patience... Patience... Oups !

Renard dresse ses oreilles pointues, se tend.

- Chut !

Il murmure : « Ça y est ! » La queue de Renard est mystérieusement prise de frénésie.
Elle est violemment tirée, secouée de tous bords, de tous côtés.

Que se passe-t-il ? C'est de la sorcellerie ?

Renard crie : « J'en ai un ! Oh ! Oh ! J'en ai un gros ! » Il tire ! Tire ! Son dos s'arque, sa colonne frémit, plie dangereusement. D'un vigoureux coup d'épaule, il sort de l'eau un gros brochet, qui frétille au bout de sa queue.

C'en est trop. La foule est ébahie, bouche bée. Quel coup de filet ! Chapeau ! Pêcher avec sa queue, ça ne s'était jamais fait. Et quel poisson... On applaudit.

Le gagnant se rend bien compte qu'il perd son siège. Sa gloire lui coule entre les griffes.

Son étoile pâlit. Pour ne pas être en reste, il relance d'un coup de tête le défi.

- Je peux en faire autant ! lance-t-il.

Et il s'installe à la pêcherie, étend sa queue à l'eau. Attend. Les animaux en ont assez. Ils sont épuisés par tant d'émotions. Ils ont à regagner un nid, un terrier, un antre. Il se fait tard. Les nuits d'automne sont froides, imprévisibles. Un gel précoce est toujours possible. Certains sont déjà à faire leurs bagages pour un voyage dans le Sud. D'autres ont des récoltes à remiser.

- Tu fais mieux d'entrer chez toi. Tout ça n'est qu'un jeu ! essaie en vain de le convaincre Castor avant de plonger vers sa cabane.

Une nuit polaire s'installe sur le pays. Le nordet sournois se lève. L'eau frisonne. La lune se couvre d'un moelleux nuage gris. Ours se roule en boule, le museau fourré dans son long poil. Il dort la queue tendue.

Au petit matin, un gros voilier d'oies cingle au-dessus du lac.

- Ça mord ! Ça mord ! crie-t-il, excité.

D'un puissant coup de derrière, il ferre. Tac ! Un cri aigu transperce l'air glacial. L'ours hurle, se lamente, se plaint, frotte énergiquement son gros derrière dénudé. Sa fierté gît à ses pieds, emprisonnée dans la glace du lac gelé dur.

Humilié, sans queue, il se sent tout nu. C'est depuis ce jour que les ours n'ont plus de queue et que l'hiver, ils se cachent au fond de leur « ouache »1


Voilà ce que nous dit cette histoire sans queue ni tête !


1- Mot d'origine algonquine pour désigner l'antre dans lequel hiberne l'ours.


NB: on pourrait retranscrire ça aux hommes de l'Iles, ça ferait bien non ...Promis je ne pêche po avec mon arroseur de fessiers

Bien le bonjour,

* Ah vla que mon Arielle me provoque de bon matin. Mais tu sais ma belle, je ne suis point écrivain, je vais donc essayer de te raconter une chtite histoire sur le fait de se faire « passer un sapin » expression au combien cher au Pays des grands froids (heu par rapport au pays ou je me trouve présentement, qui eux à – 3° et deux centimètres de poudreuse, sont en en alerte rouge, morte couille). Chez nous autres, je ne pense même pas qu’à 1,30 mètre nous soyons en alerte verte )
Mais enfin, là n’est pas la question, car peut-être qu’en faite nos cousins Français ne sont peut-être pas plus bête que nous, quoi que …

* Je vais donc, pour un moment être hors sujet, mais je réponds à Arielle et je ne sais donc pas ou mettre cela, mais il est bien aussi ici..

*Alors ma belle Arielle, l’expression choisit est selon l’endroit (et ce n’est pas à toua que je vais l’apprendre) est quelque peu différente.

* Je vais donc te raconter l’histoire que j’ai vécu ici bas, sur le territoire des mangeurs de fromages qui puent, le territoire du bon breuvage, là ou il fait bon vivre et que même ces maudits Français ne connaissent pas leur bonheur d’avoir également un aussi joli pays, certes plus petit que outre atlantique, mais au combien largement aussi riche de belle culture.

* Alors, vas-tu me dire, dans combien de temps comptes tu me raconter tes niaiseries, car je sais ma belle toi tu as des petites cropettes à soigner et à surveiller. Je te réponds sur ce point, c’est bien fait, tu n’avais qu’à retenir le breuvage dans les gosses de ton chum .
*Alors un jour, j’arrive sur le sol Français avec le sourire aux maxillaires, car du travail m’attendait et aussi une belle fille que j’avais connu sur un forum par là en fouinant sur le net, un soir, ou j’avais un peu de temps libre pendant que la scène se chauffait un peu.
* Cette fille, je peux te l’avouer maintenant se prénommait Sabine, qui devint vite pour moi « belle Sabine ». Aussi épris l’un de l’autre comme deux bêtes fauves en mal de débauche naturelle qui aurait fait un bien fou à nos deux corps en transe, on décide de se voir, malgré nos attaches familiales respectives (elle sont Papouyou ou Papillou, Papouilloux enfin un truc comme ça ; et moi ma Bianka d’amour de toujours que j’ai à moi).
Nous décidâmes donc de nous rencontrer un jeudi soir, derrière la petite gare des cars de son village. De mon côté, j’avais décidé de porter une tenu noir, avec chemisette noire, ouverte sur mes pectoraux et laissant passer mes petits poils lustrés de suite après la douche tiède (Tiéde pour ne pas froisser les bestioles de mes gosses, trop chaude, ça les tue ). Ma coiffure était impeccable, j’étais rasé de prêt tant au visage que du côté du sac de billes, enfin propre sur moi, tu comprends tu ça…
J’arrive donc, dans ma belle voiture noire, celle qui fait d’habitude, tomber d’extase les princesses, au point que, au moment ou j’ouvre la porte droite (système électrique qui ouvre la porte depuis le poste de conduite, oh ouais moderne le char) les filles souvent ouvrent leur corsage et écartent les jambes en montant à l’intérieur, tant le désir monte en elles.
Je me stationne discrètement derrière l’abris bus, que belle Sabine m’avait indiqué par portable, elle depuis son WC en panne (oui il était bouché de l’intérieur, car Papouyou est un largueur de bouses de grande envergure et le récepteur de choses usagers n’y a pas résisté), moi depuis une loge infestée de blattes ( oui, je me trouvai chez une certaine donzelle que le quartier appelait « la grande Kiki » ou un truc comme ça…) qui me couraient sous les jambes du pantalon, qui à la foi m’énervaient et qui à la foi me procuraient une certaine excitation lorsqu’elle arrivaient à hauteur de mon service trois pièces en or massif ( oui, excusez moi, mais souvent surnommé comme ça, tant la qualité rappelle un trophée )

* Donc, j’attendais en écoutant un CD de country, en chaloupant de la tête et en pensant à tout ce que j’allais faire connaître de nouveau à ma belle Sabine. Un truc m’intriguait toutefois, c’est que je voyais, des vieilles rombières (style la baronnes de mes deux oursons de la ferme, ou style Régine vieille blette évadée également de la ferme célébrité) qui étaient derrière leur fenêtre, derrière des carreaux sales et opaques qui réclamaient plus un coup de nettoyage, que de sentir l’haleine senteur camembert de ces vieilles maquerelles). Ca, je peux vous le dire, ne m’inspirait pas beaucoup et je sentis en moi la pression,(dans ce qui me sert de virilité), baisser quelque peu. Mais bon Jojo en a vu d’autres, et une pensée à ma belle Sabine est tout revenait dans une forme, dite olympique.
* Mais, pendant que je vous narre mon histoire, la pendule tourne. Il se fait donc maintenant une heure que j’attends, que le CD repart à la piste 1, que de plus en plus de sorcières s’amoncellent aux fenêtres, je vus de suite que les maquerelles faisaient fonctionner le téléphone arabe et que le village était manifestement intrigué par la venu d’un aussi beau mâle dans une aussi belle voiture, eux qui n’ont du voir que de mâles que leur molosse de cheval de trait dans les écuries, elles qui étaient avec leur vieux buveurs de gouttes, manifestement ratatinés du bulbe depuis bien des lustres. Mais que nenni, Jojo n’était de toute façon pas décidé à satisfaire ces affamées du sexe, je décide donc de m’enfermer de l’intèrieur, zlipp et toc fermé. Je gardai mon ardeur folle pour ma belle Sabine.
* Trois heures se passent, je commence à en avoir marre de mon CD qui me rabâche la même chose depuis le début. Je commence à m’énerver seul, à m’exciter, à pester contre ma belle.
Puis, je commence à douter et me dire que ma belle Sabine venait de me « faire passer un sapin » de toute beauté…

*Triste, blessé dans ma virilité de mâle à qui, il faut le dire peu de belle fille n’ont pu résister, Jojo venait de connaître sa première désillusion de sa belle, de sa très belle vie…

Merci de m’avoir lu mes chéries (chéris).



Nota : « se faire passer un sapin » = expression utilisée outre atlantique qui veut dire, selon le coin : tromper, trahir léser quelqu’un, ou se faire passer un savon, se faire rouler. J’ai donc choisit me faire rouler, poser un lapin me faire tromper quoi…

Toute personnes ayant de prêt ou de loin une quelconque ressemblance avec les personnages du récit est indépendant de ma volonté et sont des personnages fortuits n’ayant jamais existés

PS : Dit ma belle Arielle, tu vas pas me prendre au défit chaque fois, sinon je vais « capoter » ma chérie…Pour ton info, Sabine est devenu Natacha pour des raisons de confidentialité, chut chut alors…

Kikou tous

Donc, comme promis et pour ceux que cela intèresse, ici sera le coin de la prose de nous autres. Textes un peu loufoques, sans prètention littèraire poussée, mais juste pour piquer une rigolage et raconter une histoire à sa façon...

Alors mesdames, je vais ouvrir le bal si vous me le permettez. Ainsi je vais vous narrer une histoire vécue un jour dans un grand magasin, que vous connaissez mieux sous le nom de "grande surface"...

$$
Un jour de farniente masculin, comme tout bel homme est parfois amené à réaliser, nous sommes aussi mesdames lambineux, à laisser nos écoutilles surprendre des bavassages de souris, en particulier sur leurs amours, leurs hommes, leurs frasques.
*Aussi, Jojo est un friand consommateur de bavardages de belles femmes plantureuses, surtout le matin lorsqu’elles font leur magasinage au pas de course, comme des excitées et ondulant du treuil visiblement gênée par un string qui finit de leur fendre le fessier. D’ailleurs au passage, je vous donnerai le conseil mesdames, lorsque vous acheté un string, pensez toujours à prendre la taille au dessus de ce que vous portez habituellement, le confort en dépend, surtout si vous êtes sujet à hémorroïdes. ( en plus le brave Jojo vous donne d’excellents conseils, lui diplômé de la faculté de médecine de Montréal et thèse sur le fessier féminin et en particulier sur la façon de le faire fonctionner le soir à froid et le matin à chaud, mais là est un autre sujet).
* Parlons donc de notre petit cheptel de mes trois belles, fulminant sur leur époux.
La première Babou qui commence et dit au deux autres, Arielle et Mikado avide d’entendre les prouesses de la belle blonde aux seins plantureux :
« oh mes chèries bonjour, vous allez bien, y fait pas chaud ce matin, mais ça va , on va faire avec. Mais j’ai un pti soucis mon mari me demande toujours si je l’aime, alors pour lui plaire, ben je lui dis ben oui, je saute de joie, (manifestement la belle ne saute pas que de joie et comme le froid la saisie, elle croise les jambes très haut sur sa cuisse, comme pour retenir un fuite légère de sa fontaine naturelle. Les deux autres pintades font de même. J’ai eu peur un moment, pensant qu’elles allaient se lâcher au pied du rayon des produits frais, ouf rien de cela) mais quant il part, j’ai la paix hi hi…
-La deuxième, Arielle : « ho, raconte ma chérie, c’est jouissif. Ton histoire est bien plaisante, si je peux moi-même m’en servir présentement, je ne vais y manquer là là »
- La troisième, Mikado : ébouriffée et visiblement glacée par le froid produit des frigos juste à leurs pieds « ha oui, pi quoi, raconteuuuuuuuu »
- Babou : « bah des fois, je me demande si je suis normale, je veux bien faire bonne mine de temps en temps, le satisfaire 5 fois par semaine, mais je ne suis pas une mobylette, je ne démarre pas au premier clic. Ou alors c’est lui qui s’y prend mal, hein les filles.. . »
- les deux autres en cœur : « oui ma chèrie, t’as qu’à lui dire que t’es pas une machinneeeeeee et que surtout y te fasse des cadeaux, heinnnnnnn »
- La belle : « pi vous savez quoi les filles, pi quand ça lui prend, il fait ça vite fait, pi y me raconte des niaiseries, que même ça me resserre le coquetier, et après ça me dit plus rien, tellement y me raconte des choses qui sont pas belles, rhoooo si vous saviez les filles »
- Arielle : en sautillant sur elle-même et en tapant dans ces mains, excitée comme une jument que l’on devrait mener à l’étalon de l’écurie de Dame Natacha ( dame Natacha est la dame maquerelle qui tient une boîte de cheependels dans le nord d’une province française, mais bon pas de pub, je pourrai vous donner l’adresse les filles intéressées ) « dis- si moi s’qu’il te fait ma blonde, dans le noir. Es ce qu’il te fait des gros becs, es ce qu’il te le fait avec la bobette ou sans, es ce qu’il te pogne les boules, es ce qu’il te fait sauter la brassière, es ce qu’il te vise le craque, enfin raconte…J’espère qu’il ne te fait pas attraper le flux »
* Là, les belles, Jojo toujours à l’affût et faisant semblant de chercher ses produits dans le rayon adossé à celui des belles. J’ai pas moins retourné tout le rayon de fromages qui pues et j’en suis à me demander, si en rentrant à la villa, ma Bianka ne va pas croire que je suis allée faire les fromages chez le fromager, tellement je sens l’odeur m’envahir le corps. Mais cette histoire de toupies brunes me faisait bien tripper aussi.
Je décide donc de poursuivre mon écoute, en prenant toutefois garde à ne pas trop attirer l’attention et surtout que personne ne pense que je sois un pervers qui veut faire prendre l’air à son canari devant trois brunes quelques peu avares de sensations fortes…
Babou : « ensuite les filles il me demanda à manger de suite, en vitesse pour recommencer à me faire des choses. Mais moi je n’avais plus envie de me faire tripoter. Je lui ai donc fait le coup de la migraine, ha j’ai mal à la tête, non je ne veux plus. Là il s’est levé comme un fou, s’est rhabillé et est parti en claquant la porte.
Enfin, j’étais soulagée est heureuse, il venait de me faire le plus beau cadeau, il était parti…
- Les autres : « ha, ha, ben, heu, bah oui … moi j’aurai cru que ça t’aurai fait pleurer, bah non même pas… »
Ensuite un moment de silence et là, croyant que cela était terminé et que les belles en avaient finit avec leurs hommes, vla ti pas que la belle Arielle commence, elle aussi à se laisser aller dans les confidences…

Mais là, sera une autre cautaine que je vous narrerai plus tard ! ! !

$$

Merci de m’avoir lu…

NB : toutes personnes, de loin ou de prêt ou ayant ressemblance avec ces personnages, sont des personnages de fiction et non absolument rien à voir avec cette histoire vraie…

je trouve vraiment chouette ton nouveau post...
en tout cas, quand j'irai faire mes courses, je ferai gaffe qu'il n'y ait pas un curieux caribou derrière moi

steuf42 a écrit:

je trouve vraiment chouette ton nouveau post...
en tout cas, quand j'irai faire mes courses, je ferai gaffe qu'il n'y ait pas un curieux caribou derrière moi

Ce nouveau post est ouvert à la demande de belle Arielle encourageé par belle Axèle, celles qui me font m'envoler avec leurs "ailes"
En tous cas ma charmante Steuf42.
Kikou à toi

Non mais ça va pas

Citation :

dame Natacha est la dame maquerelle qui tient une boîte de cheependels dans le nord d’une province française,

il a pêché ça où ???

Natacha a écrit:

Non mais ça va pas

Citation :

dame Natacha est la dame maquerelle qui tient une boîte de cheependels dans le nord d’une province française,

il a pêché ça où ???

MDR, en plus elle s'appelle comme toi, MDR, là là, la coincidence des fois pfiouuuuuuuuu

Dit Natcha, tu pourrai peut-^tre déplacer le premier que j'ai mis dans le sujet moi Arielle. Tu le replaces au début si tu peux non ?

Ok jojo je déplace

Natacha a écrit:

Ok jojo je déplace

Merci Natacha, mais il y en une autre, mets la aussi si tu peux, la dernière sur se faire mettre un sapin l'as tu lue celle là, arghhh
https://monpremierforum.actifforum.com/viewtopic.forum?t=2156&postdays=0&postorder=asc&start=30

Je t'imagine dans l'allee des fromages qui puent a baver par terre pendant que tu espionnes la conversation

Citation :

Je décide donc de poursuivre mon écoute, en prenant toutefois garde à ne pas trop attirer l’attention et surtout que personne ne pense que je sois un pervers qui veut faire prendre l’air à son canari devant trois brunes quelques peu avares de sensations fortes…

Je me demande bien qui etait le plus avare de sensation forte! En passant......est-ce qu'il y avait de la biere ou encore un salon de coiffure pres du rayon des produits laitiers????? C'est juste que....au debut de l'histoire, Babou est blonde et a la fin elle est brune Je pense que ton canari a reussi a se sauver le temps d'aller faire un tour dans la rangee des bieres pour essayer de noyer sa peine de canari solitaire Tu sais mon Jojo, la biere ca peut en faire voir de toute les couleur a un canari

"On veut la suite!!!!"

Bisous, Arielle

Arielle, à la fin je parle de" toupies brunes ", tout simplement parce que sur les trois, il y a trois brunes, alors je parle au nom de la majorité. Mais bon tu sais il se peut que dans mon délire, je me mèlange un peu les crayons. Il te faut être indulgente morte couille...
La suite, oui, elle sera pas mal aussi. J'ai commencé dans mon char hier soir, entre deux liaisons, je vais mettre ça au propre

Nota: la bière, c'est pas mon fort, j'en bois très peu et c'est de la "maudit".
Pas trop bière le Jojo, ça fait gonfler les pectoraux ça là.

Jojo a écrit:

J'ai commencé dans mon char hier soir, entre deux liaisons, je vais mettre ça au propre
.

Jojo pense à nous même dans son char

attention quand même car Bianca pourrait de venir jalouse de toutes tes blondes

Natacha a écrit:

Jojo a écrit:

J'ai commencé dans mon char hier soir, entre deux liaisons, je vais mettre ça au propre
.

attention quand même car Bianca pourrait de venir jalouse de toutes tes blondes

Oh tsé, c'est pas la dernière non plus ste ptite peste d'amour elle rajoute bien son grain d'avoine

Citation :

J'ai commencé dans mon char hier soir, entre deux liaisons, je vais mettre ça au propre [/b]

"Dans mon char"......y-a pas de doute, tu viens vraiment du Quebec ...... Dites vous ca chez-vous un char????

J'ai hate de voir la suite!!!!!

Bisous, Arielle

moi aussi, j'ai bien ri du matin ça fait du bien

j'ai un peu de mal à comprendre les québécois, mais je m'y fait

c'est trop marrant.

Vivement la suite peut-être que je vais être dans


l'histoire d'une jolie brune, pas de cochonneries sur moi Jojo, gare à tes

fesses

arielle a écrit:

Citation :

J'ai commencé dans mon char hier soir, entre deux liaisons, je vais mettre ça au propre [/b]

"Dans mon char"......y-a pas de doute, tu viens vraiment du Quebec ...... Dites vous ca chez-vous un char????

J'ai hate de voir la suite!!!!!

Bisous, Arielle

Non ma belle ici, le char, c'est une voiture, une automobile. Un char ici, serait plutôt un engin de guerre au sens propre, et vulgairement on dirait ça d'une vieille voiture qui fume et qui n'est pas en très bone état, ainsi tu peux entendre dans la rue par exemle: " enlève ton char, ou t'a vu le mec le char qui se traîne (sous entendu donc t'as vu la vieille voiture qu'il a...)
Tu comprends tu ma belle Arielle. J'espère que je suis un bon professeur, tsé Jojo est pas un futé futé qu'elles disent les filles ici. Mais elles disent que je suis un bon coup ( pour toi un bon amant qui à le slip qui fume )

Bon les Iliens, assez rit de toutes vos niaiseries ( là vous avez compris, vos bêtises quoi), je voudrai être un peu sérieux et finir mon histoire assez tragique de mes trois blondes ( là aussi, ça veut pas dire qu'elles sont toutes blondes, hein, " les blondes" c'est aussi des femmes Oki ),
Donc voici la suite mes amis:

$$
Vla ti pas, que la belle Arielle, elle voulait aussi apporter de l’eau au moulin de la conversation, dans le sens ou elle, elle avait eu avec son chum, une discussion sur le fameux point G. Vous savez le point qui fait gémir, gesticuler, geindre, jouir ( ha non, c’est pas ce point là Jojo, là, tu fais une gourance c’est le point J) greuler, gueuler… Donc, manifestement, le chum de la belle Arielle, n’avait pas d’affinité avec ce fameux point. Je pense qu’il est plus favorable à parler poing avec le sieur Jojo et essayer de le lui fracasser sur le coin des naseaux et ainsi l’empêcher de sniffer sous les jupes de la belle Arielle…
Alors la conversation allait bon train et la pulpeuse Arielle se mit à expliquer les choses à ses deux autres copines, pas du tout pressée a rentrer à la chaumière est faire cuire la pitance à leur famille, l’une d’elle dira : « raconte ma chérie, si j’ai pas le temps de faire cuire je leur ouvrirai la fameuse boite de ravioles que ma belle mère m’a offerte aux étrennes l’année dernière, la pouffiasse » ‘ si si, je l’ai entendu, son nom commence par M, mais bon on reste discrète, même si elle porte le nom d’un jeu).
Arielle commence donc son explication.
« « Mon Mairi et moi, nous étions allés, nous couché assez tôt pour une fois, car à la TV, y’avait que la Céline qui parlait de son Réné, qui avait les gosses enflés, tsé, nous ça nous intéresse pas plus que ça, on avait autre chose à penser tsé, avec notre point G. Je commence donc mon questionnement à mon chum, y faut que j’vous dise les filles, mon chum c’est Lubo, ouais j’ai d’la chance je sais ben, mais pas facile à assumer tous les jours, hum hum, passons.
- Alors Arielle : « Lubo, tu sais tu, ce que j’ai entendu à la TV »
- Lubo : « bé non, tsé, chui pas comme toi pendu à ce truc toute la journée, qu’on t-ils dit tabernac »
- Elle : « y z’ont dit que les femmes, elles avaient ti un point G et que si tu me le touchais ce point la, ben on aurait plus de fun (agréable, plus d’amusement). Tu sais tu toi que ça existait s’truc là »
- Lui : « bah non vas’y toi, explique moa ça toua. De toute façon, je comprends rien à c’que tu me raconte là »
- Elle : « bah oui, j’ai ce point là, pi si tu y touche et ben j’aurai encore plus de fun, pi je monterai me susprendre au lustre, pi je ferai la geuse toute la nuit, tu comprends tu ça, hein mon Lubo » là, la belle commence un jeu de séduction avec ces hanches et ses mains toutes frêles…
- Lui : « t’as ça ou ton point G tu. T’es sur que ta mère t’en à fait un à toua. Elle a du bien tout donner à l’autre blonde de sœur Steuf ! tsé ta soeurette qui fait qu’à escagacer les footeux à longues jambes poilues. Tou va voir celle là, si j’la voit, j’veux bien lui dire qu’elle t’en donne un peu du point G, la ptite peste va quand même partager cette chatière »
- Elle : « ben je sais que c’est en dedans, mais après ché pas moi, c’est toua de le trouver et de le mettre en furi »
-Lui : « tu commences à m’fatiguer avec ton point G, tu vas pas croire que je vais le chercher toute la nuitée ton point G, tu crois tu aussi ça, hein ma blonde »
- Elle : « choque toi pas, on cherchera pas. PI ché même pas si c’est vrai encore st’affaire là, si ça se trouve c’est des niaiseries de journalistes crapoteux, encore là » Là, la belle enlace son Lubo, qui manifestement à dressé la cheminée et lui glisse à l’oreille : « t’en occupe pas du point G, fait moi donc l’amour comme avant mon pti cul »
Là, un silence, les deux autres filles, la BaBou et la Mikado étaient scotchées aux lèvres de la belle Arièle. L’une, la plus vieille, avait commencé de baver un peu ( bon faut pas s’étonner chez certains sujets, certains manifestes leur jouissance de cette façon). L’autre, elle, elle avait recroisé ses jambes, en alignant ses deux pieds l’un devant l’autre et en resserrant les cuisses de temps à autre ( là encore certains sujets se manifestent de cette façon, sans que l’on puisse définir si c’est le froid ou l’envie de pipi qui sont manifestés de cette manière)…
Moi, de mon côté, pris pas le récit de cette belle créature, je n’avais pas remarqué que d’autres hommes étaient derrière moi et sur les côtés et qui manifestement avaient bien compris mon manège. L’un d’eux me fit un coup d’œil en guise de soutien…

Là, les filles, décidèrent de se quitter car l’heure du dîner approchait et que nous avions perdus tous deux heures dans ce magasin. Les filles étaient heureuses et repartaient chacune de leur côté…
Dring dring dring, zut mon portable. « Allo, allo, oui ma chérie, c’est toua, oui c’est moi ma Bianka ( piouuuuuuuuu) oui, j’arrive, mais tu sais il y avait beaucoup de monde et j’ai perdu beaucoup de temps, je vais accéléré le pas et je suis à toi très bientôt » .
Ouahhhhhhhhhhhh, bah pas facile de faire les courses. Je devrai bien laisser ma Bianka les faire. Mais, et si elle aussi, lorsqu’elle met un temps fou à magasiner, elle blâmait sur moi, heu heu. Jojo pose toi aussi cette question, quoi que toi aussi tu ressembles à Lubo, enfin presque…

$$
Merci de m’avoir lu

parapluie bah le Jojo il prête des aventures extra conjugales à mon Lubo sur l'ile...y'en a un qui va tater du baton ce soir quand il va rentrer, tu vas voir....
non pas que je l'aime pas Arielle...mais j'suis pas préteuse moi...et mon point spécial j'en donne à personne non plus
sacré Jojo va...

Tiens ma nini, tu pourras apprendre le language quebecois .

http://www.republiquelibre.org/cousture/EXPRES.HTM

Je dois dire que moi aussi j'en perds des bouts parfois

Bisous, Arielle

Je vais aller voir ça tout de suite.

Merci Arielle.

Ben le Jojo, il y va fort. Mais marrant son histoire.

Je dirais qu'il n'y a pas qu'un ours qui s'appelle Martin

(je mets ça pour les prénoms, il y a d'autres Arielle, Lubo,

Babou)

à dressé la cheminée Ou t'as pris ca cette expression

Plus serieusement :

Note a ma soeur ,

Ne perds pas ton temps avec Lubo. Il n'est meme pas capable de trouver le point G. Parcontre, Jojo a l'air de bien connaitre....

Bisous, Arielle

Tout ça pour ne même pas savoir à la fin de l'histoire où est le point G de la belle

Bon alors c'est ty que ça vous a plus ou pas? Pourtant c'est la vérité, mais je comprends qu'elles n'avouent pas la vérité, elles ont peur de se faire culbuter le tirroir à saucisses par un vieux comme moâiiiiiii MDR

Quand je reviendrai vous voir, je vous raconterai peut-être ma première histoire d'amour, tsé le jour ou j'ai fait découvrir à mon chimpanzé de slip, les grottes d'un coin par là, sans lumière et par jour de grande pluie.
Mon dieu que Jojo en a vu dans sa vie de vieux caribou tsé...

Gros bisous mes agnielles

Quoi ... c'était même pas dans la neige jojo la première fois

c'est trop bien tes ecrits jojo

on se retrouve comme au coin du feu a ecouter le vieux divaguer
de son passé fumant , et a revasser de ses souvenirs depuis longtemps finis!!


bref j'adore !! (je rajoute ça pour arielle j'veux pas qu'elle croit que c'est encore une critique!! )

tes expressions on sait pas si elles viennent direct du grand quebec froid ou de ton imagination???
dresser la cheminée c'est une belle .....image! lol