Avez-vous tendance à juger ?

Il est banal de critiquer celui qui nous dérange. Même lors d'une première rencontre, on ne peut s'empêcher de lâcher un verdict que l'on suppose approprié : « Lui, c'est un séducteur », « Comment peut-on être aussi naïve ? », « Elle a l'air maniaque », etc…Nous sommes alors persuadés d'être les meilleurs juges. Cette sentence est pourtant d'une subjectivité totale puisqu'elle est le fruit de notre culture familiale et de notre vécu personnel. Et, le plus souvent, les défauts incriminés nous renvoient à nous-mêmes. Pour savoir si vous avez ou non une propension à juger, répondez aux questions suivantes le plus spontanément possible.

C'est par ici

Citation :

C'est vous-même que vous jugez

Vous aimez beaucoup les gens, mais vous suspectez chez certains des attitudes qui vous horripilent. Alors, dès que vous détectez ces comportements, soit vous tirez à bout portant, soit vous râlez en tempêtant que vous êtes cerné(e) par d'affreux égoïstes, de vils hypocrites, d'épouvantables agressifs, etc. Vous imaginez alors que vous êtes une pauvre petite chose perdue dans un monde de brutes. Si les reproches que vous constatez sont toujours les mêmes, c'est que ces traits de caractère vous sont bien familiers… Il vous serait utile de comprendre que, ce que vous n'acceptez pas chez les autres, c'est votre part d'ombre. Tels de multiples miroirs, ces êtres indésirables ne reflètent que vos propres défauts…

ça casse quelque part...
je me souviens d'avoir juger trop attivement une personne qui par la suite est devenue mon amie...
la première fois que je l'ai vu...j'ai dit celle là, je ne lui parlerai jamais...elle me fait peur...
et pis finalement, passées les premières impressions...

C'est vrai qu'on a tendance à jauger les gens au premier abord et parfois ils se révèlent très différents de ce que l'on pensait .....

Vais voir le lien de boulier

Mon résultat

Une peur farouche du jugement

Apparemment, vous n'êtes pas du tout dans le jugement ! Bien au contraire, vous fuyez toute critique comme la peste. Car vous ressentez les réprimandes comme de véritables violences psychiques. Même lorsque les reproches ne vous sont pas adressés, ils vous mettent mal à l'aise. Votre sensibilité émotionnelle vous ouvre à une compassion très louable. Mais elle vous empêche surtout de vous exprimer vraiment. Vous êtes parfois si ému(e) que vous osez à peine prendre la parole pour extérioriser vos sentiments.

Si vous souffrez de ce malaise, il vous serait profitable d'aller en chercher la source. Peut-être en retrouverez-vous l'origine dans votre passé. Si vous avez été la cible de blâmes affligeants durant votre enfance, il est possible que vous ayez développé une peur d'être sanctionné(e) à nouveau. À chaque fois que vous entendez une remontrance, le tout-petit qui est en vous se réveille et vous incite à revivre inconsciemment la même peine. Il vous serait nécessaire de consoler cet enfant intérieur et de tenter de vous en dissocier. Cet apaisement vous permettra de ne plus être bouleversé(e) lors des attaques verbales. De plus, en parvenant à être pleinement adulte, vous vous autoriserez à manifester librement vos opinions.

Et la mienne

La critique positive

Vous avez la capacité d'analyser avec pertinence les travers des gens que vous côtoyez. Vous savez aussi être magnanime et acceptez les autres malgré leurs défauts. Si vous avez une critique à formuler, vous en soupesez bien toutes les conséquences avant de l'adresser à son destinataire. Car vous savez qu'un reproche doit pouvoir être constructif. Sinon vous préférez vous abstenir. Vous avez compris que celui qui juge mal est celui qui se juge mal. Aussi est-il naturel que nombre de personnes se tournent vers vous pour vous demander conseil. Mais vous restez encore une fois très prudent(e) lorsqu'on réclame votre avis.

Une telle sagesse témoigne d'un grand travail d'introspection. Des attaques douloureuses dans votre passé vous ont peut-être conduit à adopter cette attitude teintée de respect. Ou bien peut-être avez-vous réalisé au fil du temps que les stéréotypes condamnaient à de médiocres jugements systématiques. Le résultat semble satisfaisant puisqu'il vous a permis de saisir la nature même de votre personnalité et d'identifier avec pertinence vos propres faiblesses. Continuez d'appliquer ce contrôle subtil de vos opinions. Cette créativité vous guidera vers une observation toujours plus affinée du comportement humain.

Très proche de la réalité tout cela boulier

Essayez aussi ce test ; il n'y a que 10 questions

Vraiment étonnnnnant...

Tellement réaliste que j'ai du avant de poster le résultat, effacer la ligne ou ils dévoilaient la couleur de mon slip.......

Tu ne portes pas un string à paillettes?


La critique positive Marrant ce test...

C'est clair qu'on juge tous dés les premières contacts mais changer d'avis sur une personne ensuite est faire preuve d'intelligence.

Bon sur ces bonnes paroles je vais faire le test

Avez-vous tendance à juger ?

C'est vous-même que vous jugez

Vous aimez beaucoup les gens, mais vous suspectez chez certains des attitudes qui vous horripilent. Alors, dès que vous détectez ces comportements, soit vous tirez à bout portant, soit vous râlez en tempêtant que vous êtes cerné(e) par d'affreux égoïstes, de vils hypocrites, d'épouvantables agressifs, etc. Vous imaginez alors que vous êtes une pauvre petite chose perdue dans un monde de brutes. Si les reproches que vous constatez sont toujours les mêmes, c'est que ces traits de caractère vous sont bien familiers… Il vous serait utile de comprendre que, ce que vous n'acceptez pas chez les autres, c'est votre part d'ombre. Tels de multiples miroirs, ces êtres indésirables ne reflètent que vos propres défauts…

Alors essayez de prêter attentivement l’oreille à ce que vous dites et servez-vous de vos mots comme d'un instrument pour évoluer. Dès que vous jugez la personne qui est face à vous, posez-vous les questions suivantes : "Quel est ce défaut que j'incrimine ? N'aurais-je pas le même travers ?" En acceptant ce côté sombre qui vous aussi vous caractérise, vous perdrez l'envie de projeter vos imperfections sur vos proches. L'enjeu est de taille puisque cette transformation contribuera à votre évolution et modifiera étonnement votre vision du monde.


Super le test!!! Je passe pourun con égoiste!!! Génial, Boulier!!!

De rien Lubo

tous les 2 pareils...on est les seuls à être dégoutés du résultat

boulier a écrit:

Tu ne portes pas un string à paillettes?


La critique positive Marrant ce test...

Comment tu sais ça toi ??? tu as fait un tour dans ma garde -robe????

C'était donc toi dans le placard l'autre jour ou je suis rentré à l'improviste

Parfois je lui prête celui-là

Papouyou a écrit:

boulier a écrit:

Tu ne portes pas un string à paillettes?


La critique positive Marrant ce test...

Comment tu sais ça toi ??? tu as fait un tour dans ma garde -robe????

C'était donc toi dans le placard l'autre jour ou je suis rentré à l'improviste

Le jour où tu as laissé ta femme seule avec les biquettes? Non,non, ce n'était pas moi!

pour vous dire que la réalité dépasse la fiction, parfois

car lorsque j'ai vu pour la première fois l'homme qui est devenu le zhom de ma vie (mon mari donc!) je me suis tout de suite dit <<qu'est qu'il peut être c*n celui-là>>

canaillou ...

Comme quoi...

Une peur farouche du jugement

Apparemment, vous n'êtes pas du tout dans le jugement ! Bien au contraire, vous fuyez toute critique comme la peste. Car vous ressentez les réprimandes comme de véritables violences psychiques. Même lorsque les reproches ne vous sont pas adressés, ils vous mettent mal à l'aise. Votre sensibilité émotionnelle vous ouvre à une compassion très louable. Mais elle vous empêche surtout de vous exprimer vraiment. Vous êtes parfois si ému(e) que vous osez à peine prendre la parole pour extérioriser vos sentiments.

Si vous souffrez de ce malaise, il vous serait profitable d'aller en chercher la source. Peut-être en retrouverez-vous l'origine dans votre passé. Si vous avez été la cible de blâmes affligeants durant votre enfance, il est possible que vous ayez développé une peur d'être sanctionné(e) à nouveau. À chaque fois que vous entendez une remontrance, le tout-petit qui est en vous se réveille et vous incite à revivre inconsciemment la même peine. Il vous serait nécessaire de consoler cet enfant intérieur et de tenter de vous en dissocier. Cet apaisement vous permettra de ne plus être bouleversé(e) lors des attaques verbales. De plus, en parvenant à être pleinement adulte, vous vous autoriserez à manifester librement vos opinions.

C'est vous-même que vous jugez

Vous aimez beaucoup les gens, mais vous suspectez chez certains des attitudes qui vous horripilent. Alors, dès que vous détectez ces comportements, soit vous tirez à bout portant, soit vous râlez en tempêtant que vous êtes cerné(e) par d'affreux égoïstes, de vils hypocrites, d'épouvantables agressifs, etc. Vous imaginez alors que vous êtes une pauvre petite chose perdue dans un monde de brutes. Si les reproches que vous constatez sont toujours les mêmes, c'est que ces traits de caractère vous sont bien familiers… Il vous serait utile de comprendre que, ce que vous n'acceptez pas chez les autres, c'est votre part d'ombre. Tels de multiples miroirs, ces êtres indésirables ne reflètent que vos propres défauts…

Alors essayez de prêter attentivement l’oreille à ce que vous dites et servez-vous de vos mots comme d'un instrument pour évoluer. Dès que vous jugez la personne qui est face à vous, posez-vous les questions suivantes : "Quel est ce défaut que j'incrimine ? N'aurais-je pas le même travers ?" En acceptant ce côté sombre qui vous aussi vous caractérise, vous perdrez l'envie de projeter vos imperfections sur vos proches. L'enjeu est de taille puisque cette transformation contribuera à votre évolution et modifiera étonnement votre vision du monde.