Etes-vous d'un naturel jaloux ?

Votre conjoint parle à une créature sublime; une collègue de bureau n’arrête pas de décrocher contrat sur contrat… Les occasions d’être jaloux(se) ne manquent malheureusement pas.
Malheureusement ? Pas tout à fait : car la jalousie est à la base un sentiment tout à fait normal, qui, lorsqu’il est correctement canalisé, peut donner envie de se dépasser et d’offrir le meilleur de soi-même.
Mais parfois, la jalousie devient plus envahissante, plus imposante, ravivant des peurs anciennes, comme celle d’être abandonné ou celle de perdre le contrôle, le pouvoir…
Aussi, qu’en est-il de vous ? Comment gérez-vous les affects de la jalousie ? Quelle forme prend-elle chez vous ?
Pour le découvrir, répondez le plus spontanément possible aux qu=estions suivantes…

QUESTIONS

Citation :

Une jalousie possessive

Votre jalousie exprime avant tout la peur d’être abandonné(e)…

Vous avez besoin d’être sous les feux de la rampe, afin d’être reconnu(e), voire admiré(e). Vous jouez de votre séduction, et plus les regards et l’attention sont portés sur vous, plus vous avez le sentiment d’exister et d’avoir de la valeur. Mais si l’autre joue sur le même terrain que vous, il devient un rival qui vous dérobe une partie de votre dû…

En couple, vous évoluez souvent dans des relations fusionnelles. Vous donnez abondamment, parfois de façon excessive. L’autre est tout pour vous : il vous apporte un sentiment de force et de puissance. Il est le pilier sur lequel vous prenez appui. C’est pourquoi, dès qu’il porte son attention ailleurs, vous avez la douloureuse sensation d’être amputé(e) de son amour. Et, pour lutter contre cette impression d’abandon, vous vous manifestez avec fougue - quitte à dépasser les limites - afin qu’il ne voie de nouveau que vous…

Pourquoi la jalousie prend-elle chez vous cette forme passionnelle ?
Pour vous, l’amour semble ne pouvoir se conjuguer que sur un mode exclusif. « Si l’autre donne de l’amour ailleurs, c’est qu’il m’aime moins, et que je ne compte plus à ses yeux. »
Vous avez probablement vécu des relations qui devaient vous mettre sans cesse en compétition avec un autre. Peut-être vos parents jouaient-ils de la rivalité entre vous et vos frères et sœurs ? Ou vous a-t-on fait croire que seul(e), vous n’étiez rien. Que votre valeur et votre bonheur dépendaient uniquement du bon vouloir des autres…

Le résultat est que vous avez peu d’estime pour vous et que vous recherchez désespérément celle-ci à l’extérieur…
Aussi, réappropriez-vous symboliquement votre valeur en travaillant votre confiance en vous et votre force intérieure. Vous serez plus libre dans vos relations, et n’aurez plus le sentiment d’être abandonné(e).

ça me blase tes tests... j'suis jalouse...ça on le savait...mais tout ça....bouhouhouh....

Là je ne me suis pas trop reconnu dans ce test mais voici la réponse
Une jalousie dubitative

Votre jalousie révèle avant tout une difficulté (ou impossibilité) à croire que l’on vous aime…

Vous évoluez en société avec votre mental, bien plus qu’avec vos émotions. Vous observez, comparez et cherchez souvent de nombreuses justifications aux actes et paroles des autres. Dès que vous ressentez de la jalousie, vous en étouffez les affects en vous rattachant à toutes sortes de rationalisations, souvent arbitraires, telles « S’il a eu cette promotion, c’est qu’il a fait du charme à la direction »

En couple, vous avez souvent du mal à exprimer ce que vous ressentez. Vous attendez beaucoup de l’autre, mais sans lui en faire part. Vous doutez de ses sentiments, et avez parfois tendance à interpréter ses actes et ses paroles en fonction d’un scénario imaginaire. Vous cherchez alors l’indice qui pourrait vous confirmer qu’il ne vous aime pas tant que cela…

Pourquoi vous est-il si difficile de faire confiance à l’autre, de croire en son amour ?
Deux hypothèses : la première serait une incapacité à envisager que l’on vous aime. Comme si vous n’en aviez pas le droit. Une sorte d’interdiction inconsciente, petite voix castratrice et culpabilisante qui vous incite à trouver des preuves pour lui donner raison.
La deuxième hypothèse serait que vous n’êtes plus satisfait(e) de votre relation, mais qu’il vous est impossible d’y mettre un terme et d’assumer le rôle de celui (celle) qui quitte. Car pour vous, quitter reviendrait à agresser. Or, si l’autre vous trompait, les choses deviendraient bien plus faciles à gérer pour vous…

Si cette dernière hypothèse vous parle le plus, osez assumer votre désir de rupture, légitime : cela ne fera pas de vous un coupable, mais quelqu’un qui ose se prendre en main et assumer ses décisions.
En revanche, si votre jalousie est bel et bien générée par une impossibilité à accepter d’être aimé(e), confrontez cette voix qui vous interdit de jouir de l’attention de l’autre. C’est en l’affrontant que vous vous réapproprierez votre droit à l’amour…

pas vraiment ça

Je ne suis jaloux que quand je trouve Boulier dans le placard hehheh

Papouyou a écrit:

Je ne suis jaloux que quand je trouve Boulier dans le placard hehheh

Papouyou a écrit:

Là je ne me suis pas trop reconnu dans ce test mais voici la réponse
Une jalousie dubitative

Votre jalousie révèle avant tout une difficulté (ou impossibilité) à croire que l’on vous aime…

Vous évoluez en société avec votre mental, bien plus qu’avec vos émotions. Vous observez, comparez et cherchez souvent de nombreuses justifications aux actes et paroles des autres. Dès que vous ressentez de la jalousie, vous en étouffez les affects en vous rattachant à toutes sortes de rationalisations, souvent arbitraires, telles « S’il a eu cette promotion, c’est qu’il a fait du charme à la direction »

En couple, vous avez souvent du mal à exprimer ce que vous ressentez. Vous attendez beaucoup de l’autre, mais sans lui en faire part. Vous doutez de ses sentiments, et avez parfois tendance à interpréter ses actes et ses paroles en fonction d’un scénario imaginaire. Vous cherchez alors l’indice qui pourrait vous confirmer qu’il ne vous aime pas tant que cela…

Pourquoi vous est-il si difficile de faire confiance à l’autre, de croire en son amour ?
Deux hypothèses : la première serait une incapacité à envisager que l’on vous aime. Comme si vous n’en aviez pas le droit. Une sorte d’interdiction inconsciente, petite voix castratrice et culpabilisante qui vous incite à trouver des preuves pour lui donner raison.
La deuxième hypothèse serait que vous n’êtes plus satisfait(e) de votre relation, mais qu’il vous est impossible d’y mettre un terme et d’assumer le rôle de celui (celle) qui quitte. Car pour vous, quitter reviendrait à agresser. Or, si l’autre vous trompait, les choses deviendraient bien plus faciles à gérer pour vous…

Si cette dernière hypothèse vous parle le plus, osez assumer votre désir de rupture, légitime : cela ne fera pas de vous un coupable, mais quelqu’un qui ose se prendre en main et assumer ses décisions.
En revanche, si votre jalousie est bel et bien générée par une impossibilité à accepter d’être aimé(e), confrontez cette voix qui vous interdit de jouir de l’attention de l’autre. C’est en l’affrontant que vous vous réapproprierez votre droit à l’amour…

pas vraiment ça

je me permets de te citer car j'en suis arrivé aux même résultats et à la même conclusion....