Création littéraire

Comme j'ai toujours apprécié la prose de notre ami jojo, je propose de regrouper ici ce qui sort de sa plume...

Voici ce que j'ai copié dans le sujet sur l'amitié :

Parmi les fleurs éclosent en son cœur.
Il en est une, une immortelle.
C’est l’amitié l’ami fidèle, L’ami(e) qui est le reflet de toi qui est même un peu plus que toi, que moi. L’ami(e) qu'il te fait plaisir de revoir.
L’ami(e) qui ne sait pas te décevoir et qui sait pardonner. Si tu lui donnes ton amitié.
L’ami(e) sincère extraordinaire, c’est la franchise, c’est l’indulgence, c’est le plaisir, la compréhension,
c'est la confiance, c’est ton tiroir de papiers secrets.
Il, elle te connaît plus que tu te connais.
C’est le réconfort que l’on va chercher…
C’est l’être sûr, sur qui tu peux te reposer, t’appuyer sur son épaule et compter…
Parmi les plus beaux cadeaux de la vie il en est un bien choisi pour toi.
L’ami(e) à qui tu peux te confier, l’ami(e) qui partage si bien ta vie, l’ami(e) qui reste à tes cotés malgré tous ceux qui t’ont laissé tomber…
L’ami(e) qui n’est jamais de trop et qui sait se retirer quand tu as besoin de solitude…
L’ami(e) sincère c’est la gaieté, la discrétion, c’est l’honnêteté, c’est l’affection, ce sont tes joies à travers son cœur, ce sont tes peines qui ternissent ses heures malgré tout cela et c’est vraiment une chance inouïe de posséder un(e) tel(le) ami(e)…

Jeu de Maux

Debout sur le brise larmes, elle regard de l'âme erre. L'heureux gare perdu dans le loin train, elle rêve de cent volées. Le vent soulève des gens bruns qui sang volent un peu partout. Peu à peu des nus âges gris ans plissent le ciel. Leur pâle heure se reflète sur la sûre face de la mère. Les vagues brassent une mousse jaune que le vent saoûl lève. Un bateau de prêche sûr gît derrière le brise l'âme. Elle l'heureux garde ses lois nier. L'air est lourd et chargé d'humilité. Elle sent quelques doutes de pluie. Au loin, l'haut rage gronde. Elle dé-censure la plage et ôte ses sous liés. Elle entre dans l'amer jusqu'aux mots laids, s'éclaircit la voie puis entame un re-frein connu d'elle seule. Tout en murs murant, elle s'arrête un mot ment et regards d'autour d'elle. Elle a perd soi un homme qui l'a proche. Il ne lui semble pas à compagne nier. Sans savoir pour quoi, elle sort de la mère et l'heureux joint. Ils ce regard de cent parlers. Il lui souris et elle chat vire. Elle voudrait lui dire ce qu'elle panse, mais déjà leurs corps s'en lassent. Ils sang brassent intense cément. Puis, un épais brouille art monte de l'amer et les ans porte.

Invité

Crotte, chui pas douée, j'ai du mal à suivre

les jeux de mots chat002

je l'ai lu tout haut c'est plus facile.

c'est très beau mais très triste.

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