Dur dur c'est lundi

http://katycadeaux.free.fr/301dur/dur.htm

On peut en envoyer une tous les lundis

car c'est tjrs dur dur ce jour là

C’est la minute M du jour J. Autour de vous, un mur lacté, un rideau cramoisi et un grand sac poubelle, plein de bulletins négligés par vos prédécesseurs. Le sort de toute une nation repose (en partie) sur vos épaules maigrelettes et sur le bout de papier que vous allez plier soigneusement et glisser dans l’enveloppe que vous tenez entre vos mains. La pression vous angoisse tant que vous décidez de faire partager vos impressions les plus spontanées à vos voisins d’isoloir, quitte à finir par être intégralement déboussolés par l’événement. Extraits.

« Pardonnez-moi mon père, car j’ai pêché… »
Vous vous trompez d’accès pour le Paradis. Ici, il ne sera que fiscal.
« Vous avez le même en 38 ? Parce que le 40 c’est un peu grand là »
Vous auriez pu au moins vous épiler.
« Je pensais à un petit gris anthracite et à un lino imitation parquet pour donner une touche moderne et plus neutre à cet isoloir »
Vous regardez trop D&CO.
« Mais non personne ne nous voit je te dis. Allez enlève ça… »
Voter, pour certains, c’est plus excitant que d’autres.
« Excusez-moi, il vient dans longtemps le docteur ? La ça fait 15 minutes que j’attends en slip-chaussettes »
Quand on ne vote pas à chaque fois, on oublie les bonnes habitudes.
« Et il compte aller où là ? Non désolé, c’est une soirée privée. Et pas de basket »
Se rappeler que voter c’est un privilège.
« Plouf Plouf. Mais comme le roi et la reine ne le veulent pas… »
Vous êtes indécis et ça s’entend. Un peu.
« Quelqu’un a du gel douche, j’ai oublié le mien ? »
De vieux restes de vos vacances en camping.
« Je trouve pas le tabouret. Et faut appuyer où pour la photo ? »
Voter, c’est pas si simple.
« C’est définitif, j’aime pas les toilettes à la turque »
Pas de verrou, pas de papier…
(bonus)« Je mets quoi comme timbre ? 0,60 € ou 1,40 € ? »
Quelqu’un a l’adresse de Mr Hollande ?

Et vous, qu’est-ce que vous y faites dans l’isoloir ?

pas mal

Citation : Shakespeare

Si un jour je meurs
et qu'on ouvre mon ,
on pourra lire en lettres d'or....
je t'aime encore.

vouahhhhhhhhh c'est qui causait bien ce shake spire!!!!

Un homme qui vient d'être recruté appelle son entreprise le lundi matin, pour son premier jour :
- Je ne pourrais pas venir, je suis malade.Le patron l'excuse et, le mardi matin, le nouvel employé arrive et travaille tellement bien le restant de la semaine qu'il gagne le respect de tout le monde.

Le lundi suivant, il téléphone à nouveau :
- Je suis malade.Le patron l'excuse une fois encore, non sans noter que ça fait le deuxième lundi qu'il lui fait le coup. Le type arrive le mardi matin et travaille tout le restant de la semaine encore mieux que la semaine précédente.

Le lundi suivant, le type téléphone :
- Je suis malade.Le patron l'excuse mais prend note de le convoquer le lendemain matin.Le mardi matin le type arrive et il est immédiatement convoqué dans le bureau du patron.
- Ecoutez, vous êtes un excellent employé, je n'ai absolument pas à me plaindre de vous, mais ce n'est plus possible. Vous ne pouvez pas être malade tous les lundis.
- C'est que, voyez-vous, j'ai l'habitude de passer chez ma belle-sœur tous les lundis matin avant d'aller travailler pour la réconforter depuis le décès de mon frère. Une chose menant à l'autre, nous finissons par faire l'amour toute la journée.
- Avec votre belle-sœur juste veuve, mais c'est dégoûtant !
- Je vous avais dit que j'étais malade !

Le marc de café

Ça se passe un dimanche matin. Un monsieur est victime d’une crise d’hémorroïdes carabinée.
Ne voulant pas déranger le médecin un dimanche, il demande à son épouse si elle ne connaît pas un remède de « bonne femme ».
Elle lui répond qu’effectivement, elle se souvient que sa grand-mère utilisait des cataplasmes à base de marc de café.

Alors le monsieur suit les conseils de son épouse et s’applique sur le fondement des compresses imbibées de marc de café pendant toute la journée.

Le lundi matin, il décide malgré tout de consulter car la douleur est encore très importante. Le médecin le reçoit, le fait se déshabiller puis se pencher en avant. Le monsieur reste comme ça, en position pendant cinq bonnes minutes, puis il commence à s’inquiéter :
- Alors Docteur, qu’est-ce qui se passe ? Qu’est-ce que vous voyez ?

Et le docteur répond :
- Je vois… des changements dans votre carrière… un grand amour avec une belle jeune femme brune… de l’argent, beaucoup d’argent……

trop bien ça met en forme pour la semaine



Z'avais pas vu cette partie du forum tout ce que j'ai raté

Enfin ayé j'ai rattrapé le retard

haa genial!!!!